60% des jeunes de 18 à 25 ans, 35% des élèves entre la sixième année primaire et la troisième année secondaire auraient déjà été victimes de cyber-harcèlement, selon des études relayées par la RTBF. Ce fléau concerne tous les âges, toute notre jeunesse.
Si, dans les quatre écoles de la Commission communautaire française exposées, les équipes semblent prendre ce fléau à bras le corps avec différentes approches, le gouvernement n’apporte malheureusement aucune réponse sur des programmes qu’il pourrait, qu’il devrait, impulser à travers les différents outils qui s’adressent aux jeunes et qu’il subventionne : 4 CIDJ (centres d’information et de documentation pour jeunes) ; les permanenc Info Jeunes dans 12 communes et 6 maisons de jeunes.
Je déplore également que la COCOF ne dispose pas d'une image précise quant à l'exposition des jeunes bruxellois au harcèlement et au cyber-harcèlement, en fonction des différentes tranches d'âges.
Je reviendrai sur ce sujet qui concerne toute notre jeunesse et de nombreuses familles désemparées, un sujet qui doit être une priorité à l’école et en dehors de l’école.
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